En effet, la Fédération Wallonie-Bruxelles est l’un des premiers et uniques gouvernements à avoir rendu son Parcours d’Éducation Culturelle et Artistique (PECA) obligatoire dans ses cursus scolaires. Mieux : les belges francophones sont à la pointe du sujet, avec des politiques publiques désormais reconnues mondialement grâce à l’UNESCO !
Cette Conférence mondiale, co-organisée par l'UNESCO et le Gouvernement des Émirats arabes unis, avait pour objectif d’adopter un Cadre mondial pour l’éducation culturelle et artistique, constituant un outil essentiel pour élaborer des stratégies et des politiques intégrant les Arts et la Culture dans les systèmes éducatifs internationaux. La Belgique, qui était représentée par le ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles auprès de l'UNESCO, conjointement aux ministères flamands de l’Éducation et de la Culture, a présenté de nombreuses pratiques inspirantes expérimentées dans le cadre de ses programmes. Notre pays s'est investi de manière significative dans les négociations internationales portant sur la rédaction de ce cadre global. En effet, la Fédération Wallonie-Bruxelles est véritablement à la pointe du sujet, grâce à des politiques ambitieuses et un travail de longue haleine mené en synergie entre secteurs éducatifs et culturels.
Retour au début"La Belgique a pris une part active dans le processus pour ce nouveau cadre, notamment avec la vice-présidence des concertations européennes. Pour nous, l’éducation culturelle et artistique joue un rôle essentiel afin d'éveiller l’esprit critique, la liberté d’expression et stimuler la diversité des pratiques culturelles." Catherine Stilmant, Directrice du PECA en Fédération Wallonie-Bruxelles
Le PECA, un projet qui dépasse les frontières
Pour la première fois depuis près de quinze ans, l'UNESCO se réunissait à l’occasion d’une Conférence mondiale pour aborder l’éducation culturelle et artistique durant ce mois de février 2024, afin d’élaborer des stratégies politiques intégrant la culture et les arts dans les milieux scolaires pour répondre aux besoins de notre société actuelle. Le PECA contribue avec efficacité à cette nécessité d’expliquer le monde qui nous entoure au travers du domaine culturel, par exemple par l’organisation d’activités orientées sur l’éducation aux médias et les nouvelles intelligences artificielles. L’éducation culturelle et artistique prône le développement de valeurs fondamentales : ouverture d’esprit, liberté d’expression et de création ou encore citoyenneté.
À l'heure des fakes news, deep fakes et du tout-à-l'intelligence artificielle, il s'agit aussi de développer des compétences résolument d’avenir pour notre jeunesse comme l’intelligence émotionnelle, le raisonnement critique, l’éducation aux images et aux médias ou encore la meilleure connaissance des patrimoines.
"Bien plus qu'un simple ajout au programme scolaire ; l’éducation culturelle et artistique doit constituer une expérience, un vécu que nos jeunes emporteront dans leurs bagages personnels toute leur vie. Nous pensons qu'il s'agit définitivement un sujet d’avenir, mobilisant des compétences d'avenir." Martin Ouaklani, Conseiller représentant Wallonie-Bruxelles à l'UNESCO
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Qu’est-ce que le PECA, exactement ?
Le PECA (Parcours d’Éducation Culturelle et Artistique) est un programme s’inscrivant dans le « Pacte pour un Enseignement d’excellence », réforme du système scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La mise en place de ce programme-chantier a débuté en septembre 2020 et est d’ores et déjà d’application pour l’ensemble des élèves francophones de Belgique, c’est-à-dire près de 900.000 élèves.
Le PECA met en relation les mondes de la Culture et de l’Enseignement. Il accompagne les enfants de la première maternelle à la dernière année de scolarité obligatoire, soit quinze ans de vie scolaire ! L’objectif du PECA est, à terme, de permettre à tous les élèves de participer chaque année à minimum deux activités culturelles. Les enjeux de ce parcours sont d’apporter une dimension culturelle à tous les domaines d’apprentissage étudiés à l’école, en mettant l'accent sur trois composantes : acquérir des connaissances, pratiquer et rencontrer (des œuvres, des lieux, des artistes...). Par exemple, à travers l'approche d'œuvres suscitant le débat, on encourage les jeunes à s'interroger sur leur positionnement afin d'élaborer un dialogue constructif. Tandis qu'à travers l'approche artistique du patrimoine naturel et local, les enfants sont amenés à mieux appréhender les enjeux de la conservation de leur patrimoine, ainsi que du développement durable.
Le PECA est à la fois un parcours enrichi par des expériences vécues en classe ou hors de l’école, avec un enseignant ou un opérateur culturel, mais aussi par un cours d’Éducation Culturelle et Artistique (ECA). Ce cours est inscrit dans les référentiels du tronc commun ; il est actuellement en application pour les enfants de la 1ère maternelle à la 4ème primaire, et sera d’application pour l’ensemble des élèves de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans les sept prochaines années.
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En effet, la Fédération Wallonie-Bruxelles est l’un des premiers et uniques gouvernements à avoir rendu son Parcours d’Éducation Culturelle et Artistique (PECA) obligatoire dans ses cursus scolaires. Mieux : les belges francophones sont à la pointe du sujet, avec des politiques publiques désormais reconnues mondialement grâce à l’UNESCO !
Cette Conférence mondiale, co-organisée par l'UNESCO et le Gouvernement des Émirats arabes unis, avait pour objectif d’adopter un Cadre mondial pour l’éducation culturelle et artistique, constituant un outil essentiel pour élaborer des stratégies et des politiques intégrant les Arts et la Culture dans les systèmes éducatifs internationaux. La Belgique, qui était représentée par le ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles auprès de l'UNESCO, conjointement aux ministères flamands de l’Éducation et de la Culture, a présenté de nombreuses pratiques inspirantes expérimentées dans le cadre de ses programmes. Notre pays s'est investi de manière significative dans les négociations internationales portant sur la rédaction de ce cadre global. En effet, la Fédération Wallonie-Bruxelles est véritablement à la pointe du sujet, grâce à des politiques ambitieuses et un travail de longue haleine mené en synergie entre secteurs éducatifs et culturels.
Retour au début"La Belgique a pris une part active dans le processus pour ce nouveau cadre, notamment avec la vice-présidence des concertations européennes. Pour nous, l’éducation culturelle et artistique joue un rôle essentiel afin d'éveiller l’esprit critique, la liberté d’expression et stimuler la diversité des pratiques culturelles." Catherine Stilmant, Directrice du PECA en Fédération Wallonie-Bruxelles
Le PECA, un projet qui dépasse les frontières
Pour la première fois depuis près de quinze ans, l'UNESCO se réunissait à l’occasion d’une Conférence mondiale pour aborder l’éducation culturelle et artistique durant ce mois de février 2024, afin d’élaborer des stratégies politiques intégrant la culture et les arts dans les milieux scolaires pour répondre aux besoins de notre société actuelle. Le PECA contribue avec efficacité à cette nécessité d’expliquer le monde qui nous entoure au travers du domaine culturel, par exemple par l’organisation d’activités orientées sur l’éducation aux médias et les nouvelles intelligences artificielles. L’éducation culturelle et artistique prône le développement de valeurs fondamentales : ouverture d’esprit, liberté d’expression et de création ou encore citoyenneté.
À l'heure des fakes news, deep fakes et du tout-à-l'intelligence artificielle, il s'agit aussi de développer des compétences résolument d’avenir pour notre jeunesse comme l’intelligence émotionnelle, le raisonnement critique, l’éducation aux images et aux médias ou encore la meilleure connaissance des patrimoines.
"Bien plus qu'un simple ajout au programme scolaire ; l’éducation culturelle et artistique doit constituer une expérience, un vécu que nos jeunes emporteront dans leurs bagages personnels toute leur vie. Nous pensons qu'il s'agit définitivement un sujet d’avenir, mobilisant des compétences d'avenir." Martin Ouaklani, Conseiller représentant Wallonie-Bruxelles à l'UNESCO
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Qu’est-ce que le PECA, exactement ?
Le PECA (Parcours d’Éducation Culturelle et Artistique) est un programme s’inscrivant dans le « Pacte pour un Enseignement d’excellence », réforme du système scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La mise en place de ce programme-chantier a débuté en septembre 2020 et est d’ores et déjà d’application pour l’ensemble des élèves francophones de Belgique, c’est-à-dire près de 900.000 élèves.
Le PECA met en relation les mondes de la Culture et de l’Enseignement. Il accompagne les enfants de la première maternelle à la dernière année de scolarité obligatoire, soit quinze ans de vie scolaire ! L’objectif du PECA est, à terme, de permettre à tous les élèves de participer chaque année à minimum deux activités culturelles. Les enjeux de ce parcours sont d’apporter une dimension culturelle à tous les domaines d’apprentissage étudiés à l’école, en mettant l'accent sur trois composantes : acquérir des connaissances, pratiquer et rencontrer (des œuvres, des lieux, des artistes...). Par exemple, à travers l'approche d'œuvres suscitant le débat, on encourage les jeunes à s'interroger sur leur positionnement afin d'élaborer un dialogue constructif. Tandis qu'à travers l'approche artistique du patrimoine naturel et local, les enfants sont amenés à mieux appréhender les enjeux de la conservation de leur patrimoine, ainsi que du développement durable.
Le PECA est à la fois un parcours enrichi par des expériences vécues en classe ou hors de l’école, avec un enseignant ou un opérateur culturel, mais aussi par un cours d’Éducation Culturelle et Artistique (ECA). Ce cours est inscrit dans les référentiels du tronc commun ; il est actuellement en application pour les enfants de la 1ère maternelle à la 4ème primaire, et sera d’application pour l’ensemble des élèves de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans les sept prochaines années.
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Le Ministre wallon de la Recherche et l’Innovation, Willy Borsus, a accueilli ses homologues européens à la Hulpe afin de discuter du futur programme-cadre européen, ainsi que des trois priorités de la Présidence pour la Recherche et l’Innovation (R&I) : l’autonomie stratégique, la valorisation des connaissances, et le renforcement du rôle de la Recherche.
Le 14 février, une visite a été organisée chez IBA, entreprise innovante basée à Louvain-la-Neuve et spécialisée dans le traitement du cancer. Étant à l’origine un spin-off de l'UCLouvain, IBA a réussi, au cours des trente dernières années, à devenir le leader mondial de la protonthérapie. L'évolution remarquable de cette entreprise belge témoigne de manière exemplaire de l'utilisation de la R&I pour répondre aux enjeux de la société.
Autonomie, valorisation et renforcement
Au cours de la réunion, les 27 ministres ont examiné diverses questions découlant des priorités de la Présidence belge du Conseil de l’UE.
La Belgique s'est engagée à promouvoir une autonomie stratégique ouverte au sein de l’Union Européenne, afin de renforcer la capacité de l’Union à agir de manière autonome en collaboration avec ses partenaires mondiaux. La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si la R&I peut encore se développer davantage en Europe, afin de soutenir ce concept d’autonomie stratégique.
Une autre priorité de la Présidence belge est de renforcer la valorisation des connaissances. Les ministres se sont interrogés sur les façons de transférer plus de connaissances vers des applications techniques, et donc vers de la création d’activité et d’emploi. Enfin, la Belgique souhaite intensifier le rôle de la R&I pour relever les défis sociétaux majeurs tels que la santé, la digitalisation et la décarbonation industrielle.
Retour au débutEvaluation du programme-cadre et stabilisation du budget
Durant la conférence de presse qui a suivi la réunion informelle, la Commissaire européenne Iliana Ivanova a souligné le succès du programme Horizon 2020 - qui permis d’engranger 5 euros pour chaque euro investi - et l’importance d’un budget au moins aussi important pour le prochaine programme cadre de la R&I.
Les échanges lors de la réunion ont en effet confirmé le désir des états membres de préserver le budget alloué à la Recherche & l’Innovation. Les délégations ont mis en avant la nécessité d'assurer la prévisibilité du programme tout en soulignant l'importance de la flexibilité des financements, pour s'adapter rapidement aux évolutions. L'importance d'une meilleure coordination entre les divers instruments de financement existants a été fortement soulignée, ainsi que l'urgence d'accélérer la mobilité des chercheurs, pour renforcer les liens entre les sphères politique, académique et industrielle.
Cette réunion informelle à la Hulpe visait à préparer le Conseil formel du 23 mai, durant lequel les participants aborderont à nouveau le point crucial du programme cadre, et réinsisteront sur la nécessité de ne pas diminuer le budget pour atteindre les objectifs susmentionnés. La Présidence belge a proposé un texte de conclusion du Conseil sur le programme Horizon 2020
Retour au débutLa R&I en Wallonie
La Recherche constitue un moteur indispensable de l’économie, c’est pourquoi elle a reçu un soutien financier significatif en Wallonie ces dernières années. Elle occupe notamment une place centrale dans l’actuel Plan de relance et bénéficie du budget le plus important parmi les compétences économiques : 728 millions € sur toute la durée du plan. Au cours des deux dernières décennies, la Wallonie a réalisé d'importants investissements pour renforcer sa capacité d'innovation, lui valant la reconnaissance européenne de 'région forte en innovation'.
Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be
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Le Ministre wallon de la Recherche et l’Innovation, Willy Borsus, a accueilli ses homologues européens à la Hulpe afin de discuter du futur programme-cadre européen, ainsi que des trois priorités de la Présidence pour la Recherche et l’Innovation (R&I) : l’autonomie stratégique, la valorisation des connaissances, et le renforcement du rôle de la Recherche.
Le 14 février, une visite a été organisée chez IBA, entreprise innovante basée à Louvain-la-Neuve et spécialisée dans le traitement du cancer. Étant à l’origine un spin-off de l'UCLouvain, IBA a réussi, au cours des trente dernières années, à devenir le leader mondial de la protonthérapie. L'évolution remarquable de cette entreprise belge témoigne de manière exemplaire de l'utilisation de la R&I pour répondre aux enjeux de la société.
Autonomie, valorisation et renforcement
Au cours de la réunion, les 27 ministres ont examiné diverses questions découlant des priorités de la Présidence belge du Conseil de l’UE.
La Belgique s'est engagée à promouvoir une autonomie stratégique ouverte au sein de l’Union Européenne, afin de renforcer la capacité de l’Union à agir de manière autonome en collaboration avec ses partenaires mondiaux. La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si la R&I peut encore se développer davantage en Europe, afin de soutenir ce concept d’autonomie stratégique.
Une autre priorité de la Présidence belge est de renforcer la valorisation des connaissances. Les ministres se sont interrogés sur les façons de transférer plus de connaissances vers des applications techniques, et donc vers de la création d’activité et d’emploi. Enfin, la Belgique souhaite intensifier le rôle de la R&I pour relever les défis sociétaux majeurs tels que la santé, la digitalisation et la décarbonation industrielle.
Retour au débutEvaluation du programme-cadre et stabilisation du budget
Durant la conférence de presse qui a suivi la réunion informelle, la Commissaire européenne Iliana Ivanova a souligné le succès du programme Horizon 2020 - qui permis d’engranger 5 euros pour chaque euro investi - et l’importance d’un budget au moins aussi important pour le prochaine programme cadre de la R&I.
Les échanges lors de la réunion ont en effet confirmé le désir des états membres de préserver le budget alloué à la Recherche & l’Innovation. Les délégations ont mis en avant la nécessité d'assurer la prévisibilité du programme tout en soulignant l'importance de la flexibilité des financements, pour s'adapter rapidement aux évolutions. L'importance d'une meilleure coordination entre les divers instruments de financement existants a été fortement soulignée, ainsi que l'urgence d'accélérer la mobilité des chercheurs, pour renforcer les liens entre les sphères politique, académique et industrielle.
Cette réunion informelle à la Hulpe visait à préparer le Conseil formel du 23 mai, durant lequel les participants aborderont à nouveau le point crucial du programme cadre, et réinsisteront sur la nécessité de ne pas diminuer le budget pour atteindre les objectifs susmentionnés. La Présidence belge a proposé un texte de conclusion du Conseil sur le programme Horizon 2020
Retour au débutLa R&I en Wallonie
La Recherche constitue un moteur indispensable de l’économie, c’est pourquoi elle a reçu un soutien financier significatif en Wallonie ces dernières années. Elle occupe notamment une place centrale dans l’actuel Plan de relance et bénéficie du budget le plus important parmi les compétences économiques : 728 millions € sur toute la durée du plan. Au cours des deux dernières décennies, la Wallonie a réalisé d'importants investissements pour renforcer sa capacité d'innovation, lui valant la reconnaissance européenne de 'région forte en innovation'.
Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be
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La Société Nationale de l’Acadie et la Fédération Wallonie-Bruxelles sont heureuses d’annoncer la signature de leur nouvelle entente de collaboration. Le protocole de collaboration a été signé le 14 février à Moncton (Canada), par le Président de la SNA, Monsieur Martin Théberge, et le Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec, Monsieur Yann Gall, en présence du Groupe des Ambassadeurs et Ambassadrices francophones d’Ottawa.
« L’année 2024 marque le 40ème anniversaire de notre collaboration avec la Communauté française de Belgique » a souligné Martin Théberge, Président de la SNA, « et nous sommes ravis de poursuivre notre travail et notre relation de peuple à peuple sur de nouvelles bases. »
« Nous sommes heureux de pouvoir établir une relation durable avec l’Acadie. Cette entente renouvelée permettra à nos deux peuples de continuer leurs échanges, de partager leurs expériences et expertises et surtout d’agir en solidarité pour faire briller le français dans nos juridictions respectives » a conclu Monsieur Yann Gall, Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec.
Le nouveau protocole de collaboration porte sur les 10 prochaines années et innove par rapport à la dernière entente signée en 2014. En effet, en plus de préciser les thématiques privilégiées par les deux parties – l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la jeunesse et la promotion de la langue française –, l’entente établit les paramètres d’un dialogue soutenu entre les deux peuples de façon à encourager une coopération accrue et des échanges soutenus dans les domaines de la culture, de l’éducation et de l’économie.
La Société Nationale de l’Acadie et la Fédération Wallonie-Bruxelles sont heureuses d’annoncer la signature de leur nouvelle entente de collaboration. Le protocole de collaboration a été signé le 14 février à Moncton (Canada), par le Président de la SNA, Monsieur Martin Théberge, et le Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec, Monsieur Yann Gall, en présence du Groupe des Ambassadeurs et Ambassadrices francophones d’Ottawa.
« L’année 2024 marque le 40ème anniversaire de notre collaboration avec la Communauté française de Belgique » a souligné Martin Théberge, Président de la SNA, « et nous sommes ravis de poursuivre notre travail et notre relation de peuple à peuple sur de nouvelles bases. »
« Nous sommes heureux de pouvoir établir une relation durable avec l’Acadie. Cette entente renouvelée permettra à nos deux peuples de continuer leurs échanges, de partager leurs expériences et expertises et surtout d’agir en solidarité pour faire briller le français dans nos juridictions respectives » a conclu Monsieur Yann Gall, Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec.
Le nouveau protocole de collaboration porte sur les 10 prochaines années et innove par rapport à la dernière entente signée en 2014. En effet, en plus de préciser les thématiques privilégiées par les deux parties – l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la jeunesse et la promotion de la langue française –, l’entente établit les paramètres d’un dialogue soutenu entre les deux peuples de façon à encourager une coopération accrue et des échanges soutenus dans les domaines de la culture, de l’éducation et de l’économie.
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Créé en 2013, le Réseau Mondiale des Villes Apprenantes (GNLC) a pour objectif de développer la cohésion sociale, le développement économique et le développement durable dans les zones urbaines. Plus d’une décennie plus tard, le GNLC compte 356 villes à son actif et ce sont plus de 390 millions de citoyens qui bénéficient de ses actions.
Concrètement, une ville membre comporte 6 caractéristiques :
-
“Elle mobilise efficacement ses ressources dans tous les secteurs pour favoriser un apprentissage inclusif, allant de l’éducation de base à l’enseignement supérieur.
-
Elle ravive l’apprentissage dans les familles et communautés.
-
Elle facilite l’apprentissage pour l’emploi et au travail.
-
Elle étend l’usage des techniques modernes d’apprentissage.
-
Elle améliore la qualité et l’excellence de l’apprentissage.
-
Elle favorise une culture de l’apprentissage tout au long de la vie.” (Site Unesco Institut pour l’apprentissage tout au long de la vie)
Pour la ville de Liège rejoindre ce réseau permettra de bénéficier d’une représentation sur la scène internationale, mais également, d’échanger avec d’autres membres de l’expertise, des bonnes pratiques et de contribuer ainsi à la construction d’une société inclusive et juste.
Le Réseau Mondial des Villes Apprenantes est également un acteur clé dans la réalisation des “Objectifs de Développement Durable” (ODD) des Nations Unies. Plus précisément elles agissent sur les ODD 4 "Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie" et l'ODD 11 "Rendre les villes et les établissements humains inclusifs, sûrs, résilients et durables".
Créé en 2013, le Réseau Mondiale des Villes Apprenantes (GNLC) a pour objectif de développer la cohésion sociale, le développement économique et le développement durable dans les zones urbaines. Plus d’une décennie plus tard, le GNLC compte 356 villes à son actif et ce sont plus de 390 millions de citoyens qui bénéficient de ses actions.
Concrètement, une ville membre comporte 6 caractéristiques :
-
“Elle mobilise efficacement ses ressources dans tous les secteurs pour favoriser un apprentissage inclusif, allant de l’éducation de base à l’enseignement supérieur.
-
Elle ravive l’apprentissage dans les familles et communautés.
-
Elle facilite l’apprentissage pour l’emploi et au travail.
-
Elle étend l’usage des techniques modernes d’apprentissage.
-
Elle améliore la qualité et l’excellence de l’apprentissage.
-
Elle favorise une culture de l’apprentissage tout au long de la vie.” (Site Unesco Institut pour l’apprentissage tout au long de la vie)
Pour la ville de Liège rejoindre ce réseau permettra de bénéficier d’une représentation sur la scène internationale, mais également, d’échanger avec d’autres membres de l’expertise, des bonnes pratiques et de contribuer ainsi à la construction d’une société inclusive et juste.
Le Réseau Mondial des Villes Apprenantes est également un acteur clé dans la réalisation des “Objectifs de Développement Durable” (ODD) des Nations Unies. Plus précisément elles agissent sur les ODD 4 "Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie" et l'ODD 11 "Rendre les villes et les établissements humains inclusifs, sûrs, résilients et durables".
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Théâtre des Doms
La mission principale du Théâtre des Doms est de contribuer au rayonnement d’artistes, de créations et de projets artistiques issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles, par la promotion et la diffusion des œuvres et des artistes.
Il est géré par une association sans but lucratif composée de professionnelles et de professionnels des arts et de la culture et financée principalement par Wallonie Bruxelles International, l’administration des relations internationales de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Le théâtre est ouvert à l’ensemble des disciplines artistiques, essentiellement en arts de la scène, mais soutient également certaines formes des arts visuels, comme le dessin ou la photographie de plateau de théâtre.
Les choix de programmation s’orientent vers des œuvres aux dimensions contemporaines affirmant le regard actuel des artistes, l’innovation et l’exigence artistique des créations belges francophones.
Le Théâtre des Doms inscrit son action dans la permanence et le long terme et propose une saison en deux temps, le printemps et l’automne. Il aime à construire des projets collaboratifs avec des partenaires locaux, nationaux, européens et/ou issus de la francophonie.
Un développement à l’international
Dans le cadre de ses missions d’accompagnement des oeuvres en arts de la scène programmées aux Doms, le théâtre poursuit son dispositif d’accompagnement à la diffusion.
Le théâtre poursuit sa collaboration avec le réseau d’information sur la mobilité culturelle : On the Move,
pour des sessions collectives et individuelles porteuses de conseils, de ressources et de réflexion pour les équipes programmées.
Comptant plus de 60 membres dans plus de 25 pays en Europe et à l’international, On the Move fait bénéficier aux compagnies de la Fédération Wallonie-Bruxelles de conseils d’expert.es et de personnes-ressources sur des questions en lien avec la diffusion en France, en Europe et à l’international.
L’idée via ce programme est d’accompagner les équipes pour Avignon mais également au-delà du Festival, sur des enjeux de compréhension et de positionnement plus ancrés sur l’international.
Contacts
Théâtre des Doms
Coordonnées
Rue des Escaliers Sainte-Anne 1bis
84000 Avignon
France
Contacts
Théâtre des Doms
Fiche pays
Centre culturel Wallonie-Bruxelles à Kinshasa
Le Centre Culturel Wallonie-Bruxelles à Kinshasa existe depuis 1986 et a fonctionné sans discontinuer, quelle que soit la situation dans le pays. Ce lieu est reconnu par les congolais comme un des rares lieux d’expression libre et dans ce sens, le centre participe activement à la diplomatie culturelle de Wallonie-Bruxelles au Congo.
Les congolais se souviendront que même dans les moments les plus difficiles de leur histoire récente, le centre est la seule institution qui est restée ouverte, à leurs côtés.
La raison d’être du centre culturel est de faire connaître les artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) au Congo et de faire émerger les artistes congolais sur la scène internationale en leur apportant les outils et les compétences qui leurs manquent.
Désireux de renforcer notre influence au Congo en capitalisant sur cette longue histoire faite de succès, le centre a été entièrement reconstruit en 2022. C’est aujourd’hui la plus belle scène de Kinshasa. Une scène vibrante puisqu’elle accueille chaque jour danseurs, musiciens, plasticiens, photographes, conférenciers, cinéastes…
Cet investissement majeur est le témoignage de la volonté de la FWB d’amplifier son action en RDC en attirant d’avantage de talents venant de la FWB à Kinshasa. C’est d’ailleurs pourquoi les installations permettront désormais de recevoir des artistes en résidence.
Parmi les succès marquants du centre, l’inscription de la Rumba congolaise au patrimoine universel immatériel de l’humanité.
Le centre culturel est actuellement animé par M. Brain Tshibanda, figure reconnue de la scène artistique au Congo depuis 1981.
Contacts
Centre Wallonie-Bruxelles
Coordonnées
Avenue des Aviateurs 66
Kinshasa-Gombe
Congo-Kinshasa
Contacts
Centre Wallonie-Bruxelles
Fiche pays
La conférence ministérielle et d’experts en économie sociale, portée par les trois Régions et organisée au Palais des Congrès de Liège, constituait une première en Belgique dans le cadre d’une Présidence du Conseil de l’Union européenne.
Retour au débutExperts et citoyens réunis autour des transitions
La conférence d’experts, "L’Économie Sociale au cœur des Transitions", a réuni plus de 600 congressistes. Plus de 60 orateurs belges et internationaux ont animé de nombreuses sessions plénières, tables rondes et workshops autour de trois thématiques : la transition inclusive, la transition verte et la transition numérique.
Le Palais des Congrès de Liège a également accueilli un ‘Village de l’Économie Sociale’, dans lequel les participants ont pu découvrir les réalisations d’entreprises et initiatives belges d’économie sociale, mais aussi l’implication des institutions européennes, administrations publiques, fédérations et autres acteurs de l'écosystème. Plusieurs visites d’entreprises d’économie sociale ont été organisées en Province de Liège et en Flandre, dans la Province du Limbourg.
Retour au débutDeux accords majeurs pour l'économie sociale dans l'UE
Durant la conférence ministérielle du 12 février, les Etats membres ont signé, sur proposition de la Belgique, la Feuille de route de Liège 2024 pour l’avenir de l’économie sociale. Dans la continuité de la Présidence espagnole, ce texte a pour ambition de fixer 25 mesures prioritaires en économie sociale à entreprendre par le Conseil de l’Union européenne et la future Commission européenne lors de la programmation européenne 2024-2029.
La Présidence belge a également obtenu l’institutionnalisation du Comité de suivi de la Déclaration de Luxembourg. Cette déclaration établit que l'UE doit parvenir à une compréhension commune du champ d'application de l'économie sociale, qui respecte son énorme diversité et son développement historique dans tous les États membres. Un premier règlement a été adopté pour organiser le fonctionnement du Comité de suivi, créé afin de garantir le respect et le développement des accords conclus. Avec l'adhésion de l'Allemagne et de la Pologne, ce Comité compte désormais 23 États membres.
La Wallonie, région pionnière
Les politiques publiques belges ont été à la fois innovantes et avant-gardistes avec la 1ère réglementation en économie sociale. Depuis près de 16 ans, la Wallonie est une des régions pionnières en Europe en légiférant en la matière avec le décret du 20 novembre 2008, dont les principes éthiques se retrouvent dans la résolution en économie sociale adoptée par l’Organisation Internationale du Travail (OIT).
L’économie sociale représente 14% de l’emploi en Wallonie, avec plus de 6.700 entreprises d’économie sociale présentes dans des secteurs à plus-value économique et sociale, tels que l’énergie verte, l’économie circulaire, l’alimentation durable, ou encore dans l’industrie créative et culturelle.
Les chiffres de l’Observatoire de l’économie sociale, portail statistique de l’économie sociale francophone en Belgique, ont montré que les entreprises d'économie sociale ont tendance à créer plus d'emploi de proximité par rapport à l'économie classique, mais également que 70% des postes de travail de l'économie sociale sont occupés par des femmes contre 50% dans l'économie conventionnelle. De 2018 à 2022, l’emploi dans l’économie sociale a augmenté significativement (+6,2%), une croissance plus importante que celle observée dans l’économie classique (+2,0%).
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La conférence ministérielle et d’experts en économie sociale, portée par les trois Régions et organisée au Palais des Congrès de Liège, constituait une première en Belgique dans le cadre d’une Présidence du Conseil de l’Union européenne.
Retour au débutExperts et citoyens réunis autour des transitions
La conférence d’experts, "L’Économie Sociale au cœur des Transitions", a réuni plus de 600 congressistes. Plus de 60 orateurs belges et internationaux ont animé de nombreuses sessions plénières, tables rondes et workshops autour de trois thématiques : la transition inclusive, la transition verte et la transition numérique.
Le Palais des Congrès de Liège a également accueilli un ‘Village de l’Économie Sociale’, dans lequel les participants ont pu découvrir les réalisations d’entreprises et initiatives belges d’économie sociale, mais aussi l’implication des institutions européennes, administrations publiques, fédérations et autres acteurs de l'écosystème. Plusieurs visites d’entreprises d’économie sociale ont été organisées en Province de Liège et en Flandre, dans la Province du Limbourg.
Retour au débutDeux accords majeurs pour l'économie sociale dans l'UE
Durant la conférence ministérielle du 12 février, les Etats membres ont signé, sur proposition de la Belgique, la Feuille de route de Liège 2024 pour l’avenir de l’économie sociale. Dans la continuité de la Présidence espagnole, ce texte a pour ambition de fixer 25 mesures prioritaires en économie sociale à entreprendre par le Conseil de l’Union européenne et la future Commission européenne lors de la programmation européenne 2024-2029.
La Présidence belge a également obtenu l’institutionnalisation du Comité de suivi de la Déclaration de Luxembourg. Cette déclaration établit que l'UE doit parvenir à une compréhension commune du champ d'application de l'économie sociale, qui respecte son énorme diversité et son développement historique dans tous les États membres. Un premier règlement a été adopté pour organiser le fonctionnement du Comité de suivi, créé afin de garantir le respect et le développement des accords conclus. Avec l'adhésion de l'Allemagne et de la Pologne, ce Comité compte désormais 23 États membres.
La Wallonie, région pionnière
Les politiques publiques belges ont été à la fois innovantes et avant-gardistes avec la 1ère réglementation en économie sociale. Depuis près de 16 ans, la Wallonie est une des régions pionnières en Europe en légiférant en la matière avec le décret du 20 novembre 2008, dont les principes éthiques se retrouvent dans la résolution en économie sociale adoptée par l’Organisation Internationale du Travail (OIT).
L’économie sociale représente 14% de l’emploi en Wallonie, avec plus de 6.700 entreprises d’économie sociale présentes dans des secteurs à plus-value économique et sociale, tels que l’énergie verte, l’économie circulaire, l’alimentation durable, ou encore dans l’industrie créative et culturelle.
Les chiffres de l’Observatoire de l’économie sociale, portail statistique de l’économie sociale francophone en Belgique, ont montré que les entreprises d'économie sociale ont tendance à créer plus d'emploi de proximité par rapport à l'économie classique, mais également que 70% des postes de travail de l'économie sociale sont occupés par des femmes contre 50% dans l'économie conventionnelle. De 2018 à 2022, l’emploi dans l’économie sociale a augmenté significativement (+6,2%), une croissance plus importante que celle observée dans l’économie classique (+2,0%).
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