Dans une étude publiée dans le journal ‘Science of the Total Environment’, une équipe de Tufts University (Boston) quantifie l’impact de la réduction des émissions dues au trafic automobile. Les résultats démontrent une réduction entre 60% et 68% de carbone noir et de particules ultra-fines générées par les moteurs à combustion.
Ces résultats étaient prévisibles mais la pandémie et le confinement ont fourni une opportunité pour mesurer ces projections en situation réelle. Les effets sur la santé, d’une telle diminution à long terme, seraient évidemment bénéfiques et les chercheurs espèrent que les pouvoirs publics seront sensibilisés lorsqu’il sera question de rouvrir pleinement l’économie et les activités humaines.
Plus d'infos
Dernière mise à jour
28.08.2020 - 15:15
Retour